Impact sur les animaux :

 

soit directement par les éoliennes elles-mêmes, soit dû au fait que le développement de l'électricité éolienne rend obligatoire le développement des lignes à haute et très haute tension.

Les oiseaux peuvent venir heurter l'éolienne ; les chauves-souris sont tuées par la dépression d'air due au mouvement des pales.

Le gibier peut-être gêné par les tranchées faites en forêt, surtout si celles-ci passent entre leur lieu de gîte habituel et leur lieu de nourriture.

 

 

 

 

 

 

Risque d'accident

 

 

Il peut être du à une rupture d'une pale ou d'un fragment, de la projection d'un bloc de givre ou de glace en hiver comme cela est mentionné sur le site d’Igney (voir photo ci-jointe), à la foudre ou à un incendie de la nacelle qui se communique à la nature environnante.

Ces accidents qui jusqu'à présent n'ont pas fait de victimes humaines sont minorés par les promoteurs éoliens mais ne sont pas exceptionnels.

 

Ref : site de la SPPEF . Société pour la Protection des Paysages et de l’Esthétique de la France

255 accidents en 7 ans en Allemagne

En France en 2007 dans la Meuse une pale, Clitourp en 2007 sur des éoliennes de 2005 , lieu où il y avait des visites de scolaires, suite accident du Portel le Préfet du Pas de Calais prend des mesures de sécurité.

En 2015, le 11 novembre, dans la Meuse les pales et le rotor d'une éolienne se sont décrochés et ont fait une chute de 85 m.....

 

 

Effet négatif sur le tourisme

 

Actuellement les promoteurs proposent systématiquement « un circuit pédagogique » dont les vertus seraient d'augmenter le tourisme local. En fait la multiplication des champs éoliens fait que l'attrait de ceux-ci va très rapidement disparaître ; d'autant plus que parfois en raison des problèmes de sécurité les préfets interdisent l'accès des sites éoliens ou détournent les sentiers.

 

Diminution de la valeur de l'immobilier

 

De l'ordre de 20 à 40 %. Les jugements des tribunaux le confirmant sont de plus en plus fréquents.

 

Les infrasons

 

Leur nocivité était discutée, mais de plus en plus d'études, anglo-saxonnes  notamment,décrivent le« syndrome des basses fréquences », très invalidant pour les personnes qui en souffrent.

 

Autres nuisances